Le CMCE prend en charge toutes les formes d’alopécie féminine.
Si elles ne sont pas autant touchées par les chutes de cheveux que les hommes, on estime quand même que près de 20 % des femmes sont confrontées à une perte capillaire majeure au cours de leur existence.
Selon les cas, le dégarnissement sera temporaire ou définitif, soudain ou progressif, diffus ou localisé. Lorsque la chute perdure dans le temps, il est important de consulter un médecin spécialisé.
Au CMCE, nous disposons d’une équipe de médecins et chirurgiens capillaires dont les traitements sur-mesure contribuent à stimuler la repousse des cheveux ou à ralentir l’évolution d’une alopécie. Ils réalisent aussi régulièrement des greffes capillaires pour corriger les dégarnissements définitifs.
Vos problématiques
Alopécie androgénétique
Première cause de chute de cheveux chez la femme, l’alopécie androgénétique est une pathologie capillaire qui provoque le dégarnissement progressif mais définitif d’une partie du cuir chevelu. Elle se déclenche souvent à des moments-clés de la vie d’une femme sur le plan hormonal (puberté, maternité, ménopause). Au CMCE, nous proposons une prise en charge globale de l’alopécie androgénétique – depuis l’administration de traitements dermatologiques jusqu’à la greffe capillaire en passant par des séances de stimulation capillaire par injection ou par laser LED.
Pour en savoir plusEffluvium télogène
Quoique bénin sur le plan médical, l’effluvium télogène peut être particulièrement difficile à vivre pour les femmes qui en souffrent. En effet, la chute est souvent soudaine et conséquente. Dans les cas les plus sévères, les femmes se mettent à perdre leurs cheveux par poignée. L’effluvium télogène est souvent la conséquence d’un choc affectif, d’un accouchement, d’une maladie infectieuse ou d’un régime trop draconien. S’il est généralement transitoire et sans impact à long terme sur la chevelure, il peut néanmoins être nécessaire de prendre un traitement pour stopper la chute ou stimuler le processus de repousse.
Pour en savoir plusAlopécie de traction
Il s’agit d’une perte de cheveux localisée, qui est causée par des habitudes de coiffure traumatiques pour les racines capillaires (chignons, tresses trop serrées, défrisages trop fréquents, etc.). Elle est particulièrement répandue chez les femmes noires. Si la patiente concernée ne change pas immédiatement ses habitudes capillaires, les racines risquent d’être irrémédiablement détruites, provoquant alors une alopécie définitive que seule une greffe de cheveux pourra corriger.
Pour en savoir plusAlopécie cicatricielle
Autre forme d’alopécie définitive : l’alopécie cicatricielle. Elle est provoquée par la destruction des follicules pileux soit à la suite d’une blessure à la tête, soit en raison d’une maladie inflammatoire non contrôlée du cuir chevelu. Les follicules pileux sont alors remplacés par une cicatrice fibreuse, lisse et brillante. Si les cheveux ne repousseront jamais sur cette zone, il est en revanche tout à fait possible de faire une greffe capillaire pour masquer la cicatrice.
Pour en savoir plusAlopécie causée par la trichotillomanie
La trichotillomanie est un tic psychologique qui consiste à s’arracher régulièrement les cheveux sans même s’en rendre compte. Ce faisant, la patiente accélère artificiellement le cycle de renouvellement des follicules pileux, au point d’en entraîner la destruction définitive. Lorsque le point de non-retour est atteint, la greffe capillaire devient la seule solution pour corriger le problème.
Pour en savoir plusPelade
La pelade est une alopécie en plaque qui affecte tout ou partie du cuir chevelu. Cette maladie auto-immune est particulièrement éprouvante pour les femmes qui en souffrent, puisque la chute est massive et particulièrement rapide. Chez les patientes les plus durement touchées, la perte de la chevelure s’effectue en seulement 24 heures. Dans 80 % des cas, les cheveux repoussent naturellement, mais il peut arriver que les personnes concernées doivent patienter plusieurs années. S’il n’existe pas de traitement bien défini contre la pelade, il semble néanmoins que certains traitements à base de Minoxydil, de dermocorticoides ou d’acétonide de traimcinolone aient un impact positif sur la repousse capillaire.
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